Difficile d'assurer la relève après un premier Doom fabuleux, dévoilant à la face du monde le genre FPS. Donc on prend les mêmes et on recommence, et c'est parti!
On pourrait résumer
Doom 2 à un bête clone de
Doom, et ce serait vrai. L’histoire, puisqu’il y en a une, la voici: la Terre est à nouveau envahie par les forces venues de l’enfer, et vous allez devoir à nouveau sortir les armes pour éclater du monstre en tout genre.
Doom 2, c’est pareil mais c’est différent
Mouahahahaha, je suis le maître du monde!
Le
gameplay est resté le même. Vous avez quelques nouvelles armes, il y a surtout des nouveaux niveaux bien plus grands, des monstres encore plus méchants et une durée de vie allongée. C’est ultra plaisant, il est difficile d’en dire plus. Ce test est donc fini, merci à vous, au revoir.
Bon ok, ce n’est pas fini, je subis des pressions, je dois fournir un minimum de caractères sinon on me fait manger de la peau de saucisson la tête à l’envers avec un casque de baladeur ayant pour fond audio le dernier live de Barbra Streisand, je dois donc vous en dire plus.
Pourquoi je préfère celui-là
Tain, ça a changé Legoland...
La raison est simple. Si
Doom 1 était révolutionnaire, on en attendait pas moins du second volet.
John Carmack a bien compris la recette du succès. On prend les mêmes et on recommence, mais en mieux, accessoirement. Ce qui faisait la force de
Doom est resté, à savoir l’intensité de jeu, le
gameplay basique, le fun, la boucherie et les giclées à outrance.
Donc dans
Doom 2, on fait la même chose, avec de nouveaux ennemis, des
maps plus grandes, c’est pareil, mais c’est mieux. Eeeh oui, à l’époque, c’était pas bien compliqué de faire un jeu, l’attente n’était pas la même qu’aujourd’hui. Les gamers ne demandaient qu’à s’amuser.
- Torché le 01/08/2007 à 9h56 par Robin Masters.